Lou Chamberlin est photographe. Avec cet ouvrage publié originellement en anglais en 2018 sous le titre Urban Scrawl, cette Australienne signe son cinquième opus, et agrège quinze ans de photographies prises à Melbourne, où elle vit, et lors de nombreux voyages – le livre couvre 54 villes et 22 pays.
Cette étendue géographique constitue le principal intérêt de l’ouvrage. Associant œuvres d’artistes célèbres et d’anonymes, son vaste corpus photographique saisit un continuum de formes et de thématiques, allant du détournement politique ou potache au calligraffiti. Dédié au « message » et à la « communication », Street art accorde une très large place aux œuvres mobilisant la typographie et le graffiti au sens le plus étendu du terme. En revanche, pour l’histoire évoquée dans le sous-titre, on repassera : les textes qui accompagnent les photographies se contentent de descriptions laudatives et de biographies d’artistes, et manquent d’une analyse poussée…
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Street art. Les murs ont une histoire
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°733 du 1 avril 2020, avec le titre suivant : Street art. Les murs ont une histoire