FRANCE
Faut-il faire abstraction des turpitudes d’un artiste pour évaluer son œuvre ? La nudité est-elle plus choquante que la critique de la religion ? La « cancel culture » menace-t-elle la démocratie ? Le Journal des Arts publie les résultats d’une enquête en plein dans l’actualité.
L’étude Viavoice-Communic’Art dont Le Journal des Arts publie les résultats en exclusivité est le premier sondage exhaustif sur la provocation en art. Pour ce sondage, les interviews ont été réalisées en ligne (ce qui permet aux répondants de bien comprendre la question et de réfléchir à la réponse) du 8 au 11 décembre 2020, auprès d’un échantillon de 1 001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité est assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : âge, sexe, profession de l’interviewé, région et catégorie d’agglomération.
Le JdA en publie les principaux résultats. Les filtres les plus pertinents sont ceux relatifs à l’âge, les principaux ont été commentés dans l’entretien ci-contre.
Rappelons que les références culturelles ne sont pas les mêmes pour les répondants.
Le sondage exhaustif sur la provocation en art (PDF - 2,7 Mo)
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Exclusif : un sondage inédit sur ce qui choque en art
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°560 du 5 février 2021, avec le titre suivant : Ce qui choque en art : un sondage exclusif