Pouvez-vous revenir sur la genèse de l’exposition ?
Lorsque notre livre Ingres, Regards croisés est sorti, en 2006 chez Mengès, Florence Viguier nous a proposé, à Jean-Pierre Cuzin et à moi-même, de réfléchir à une exposition qui traiterait de la postérité artistique de la fin du xixe à nos jours.
L’œuvre d’Ingres a-t-elle moins influencé la sculpture ?
Sans doute. Mais quelques beaux exemples de mise en trois dimensions d’œuvres d’Ingres par Antoine Étex, Alexandre Falguière, Alfred Janniot, Robert Wlérick, Charles-Marie Hilpert (un inconnu !) et la passionnante Émilie Benoist participent tout de même à l’exposition.
Quelle est l’artiste emblématique de ce cannibalisme ingresque ?
Citer un seul nom serait impossible ! On pense à Picasso et à Raysse, bien sûr, mais des créateurs aussi différents que Herman Braun-Vega, Bury, Erró, Jiri Kolar, Rauschenberg, Raynaud ou Georges Rohner ont aussi tissé des liens extrêmement étroits avec le Montalbanais.
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Questions à… Dimitri Salmon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°616 du 1 septembre 2009, avec le titre suivant : Questions à… Dimitri Salmon