Trois mois après la chute du régime de Bachar al-Assad, la cité antique de Palmyre, en Syrie, détruite en partie par l’État islamique en 2015, reste désertée.
Son musée a été pillé, des œuvres ont été détruites ou volées et revendues au marché noir. On estime à 4 000 le nombre de pièces disparues. La cité antique espère voir revenir son patrimoine perdu et des visiteurs, mais la présence de Daesh dans le désert aux abords du site dissuade toute reprise du tourisme…
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Palmyre en attente de protection
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°784 du 1 avril 2025, avec le titre suivant : Palmyre en attente de protection