Au pont du Gard, l’exercice 2001 s’est conclu avec un déficit dépassant 23 millions de francs. Autrefois envahi par des parkings et des étals en tout genre, le site dans sa version « nouveau millénaire » entendait devenir un exemple brillant de tourisme culturel : structures respectant l’environnement, parkings fonctionnels, trois musées, restaurants, boutiques – le clou du nouvel aménagement étant l’illumination du pont par James Turrell. La chambre de commerce et d’industrie de Nîmes, concessionnaire du site, espérait ainsi augmenter le nombre de visiteurs : s’ils ont été 1,4 million à parcourir le site au cours de l’année, seuls 100 000 d’entre eux ont manifesté leur intérêt pour les musées payants.
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Le pont du Gard : un bilan plus que décevant
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°137 du 23 novembre 2001, avec le titre suivant : Le pont du Gard : un bilan plus que décevant