Jacques Bouille, maire UMP de Saint-Cyprien, son épouse, un adjoint, un employé et un entrepreneur de la station balnéaire ont été placés en garde à vue le 15 décembre par le service régional de la police judiciaire de Perpignan.
SAINT-CYPRIEN (PYRÉNÉES-ORIENTALES) - Depuis quelques mois, Jacques Bouille est au cœur d’une enquête pour « prise illégale d’intérêt, blanchiment lié à la corruption, corruption active et passive, ingérence et favoritisme ». L’un de ses opposants accuse le maire d’avoir fait dépenser plus de 5 millions d’euros à la commune pour des œuvres d’art ne figurant pas aux inventaires des deux musées municipaux.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Gardé à vue
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°294 du 9 janvier 2009, avec le titre suivant : Gardé à vue