C’est le genre d’histoire que l’on adore. En janvier, lors d’une banale succession, Me Antoine Petit, commissaire-priseur, remarque un tableau poussiéreux.
Au dos de son cadre ancien, cette inscription à la plume : « Fragonard ». Expertisé par le cabinet Turquin, ce « philosophe lisant », probablement peint autour de 1770, sera mis en vente aux enchères à Épernay le 26 juin.
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Un Fragonard dans une succession
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°743 du 1 avril 2021, avec le titre suivant : Un Fragonard dans une succession