PARIS
Monet tenait ses Nymphéas pour décoratifs. Il n’est pas question d’autre chose chez Stéphane Erouane Dumas.
L’artiste peint des forêts de bouleaux, des tapis de lichen, des à-pics de falaise à toutes les saisons, sous le soleil et sous la neige. Pourtant, se demande Pascal Bonafoux dans la superbe monographie qui accompagne l’exposition : « S’agit-il de paysages ? Pas si sûr… » De fait, il s’agit d’huile sur la toile, comme il s’agit de bronze ou de céramique lorsque l’artiste choisit la sculpture. On pourrait croire son travail anachronique, il est simplement atemporel. C’est peut-être cela, l’art, finalement.
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Stéphane Erouane Dumas - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°742 du 1 mars 2021, avec le titre suivant : Stéphane Erouane Dumas - En galerie