PARIS
Paris. Deux expertises judiciaires confirmeraient une expertise privée demandée par le collectionneur Alberto Campioni relativement à douze meubles et objets d’art du XVIIIe siècle acquis auprès de la Galerie Kraemer et qu’il suspecte d’être des contrefaçons.
Les antiquaires, qui considèrent ces meubles comme authentiques, contestent ces expertises. Les Kraemer sont également cités dans une affaire concernant un vase, daté du XIXe siècle et estampillé « L’Escalier de cristal », acheté 10 000 dollars aux États-Unis en 2012, qui après être passé de main en main a été vendu 3 millions de dollars par les Kraemer au cheikh Al-Thani. Entre-temps, le vase est devenu un vase XVIIIe. Contacté, le marchand affirme que le vase « est parfaitement authentique ».
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Rebondissements dans les affaires de faux mobiliers et objets XVIIIe
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°528 du 6 septembre 2019, avec le titre suivant : Rebondissements dans les affaires de faux mobiliers et objets XVIIIe