La reconnaissance internationale va surtout aux artistes du début du XXe, tels que Léon Spilliaert, James Ensor ou Anto Carte. Les impressionnistes belges de la première heure (Théo Van Rysselberghe, George Morren et Willy Finch) suivent la tendance de l’impressionnisme. Les grands talents des différentes tendances fin XIXe-début XXe et typiquement belges sont bien repérés sur le marché international : le luminisme (Émile Claus, Anna De Weert), les symbolistes (Khnopff, Spilliaert), le groupe de Laethem-Saint-Martin ou encore celui des XX.
Ils sont essentiellement belges – des collectionneurs assidus –, mais il y a de grandes collections en Allemagne, aux Pays-Bas, en Angleterre, aux États-Unis et même au Japon. L’une des plus grandes collections du peintre paysagiste impressionniste belge Adrien-Joseph Heymans se trouve au cœur de Paris !
La période de la fin du XIXe et du début du XXe, lorsque l’avant-garde se faisait à Bruxelles et non à Paris : les XX, la Libre Esthétique, l’Art nouveau avec Victor Horta, Henry Van de Velde ou Philippe Wolfers, ainsi que l’Interbellum (les années 1920) avec les artistes autour des mécènes Paul-Gustave Van Hecke, André De Ridder, Walter Schwarzenberg à Bruxelles ou à Anvers dans l’entourage de l’écrivain Paul van Ostaijen.
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Questions à… Francis Maere
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°761 du 1 janvier 2023, avec le titre suivant : Questions à… Francis Maere