Armelle Malvoisin : Comment avez-vous découvert les poupées kachina ?
David Roche : Pour commencer, j’ai beaucoup appris de mes parents qui étaient collectionneurs d’art amérindien. Et j’ai eu la chance de grandir à Chicago où se trouvent deux collections majeures muséales d’art amérindien. Lors de mes études en histoire de l’art, je me suis donc spécialisé dans ce domaine. Mais je me suis surtout enflammé pour les kachina à l’occasion d’une visite inoubliable chez les Hopis.
A.M. : Quelles recommandations feriez-vous aux collectionneurs de kachina ?
D.R. : Il faut lire, voir et visiter tout ce qui concerne les kachina, mais aussi se trouver un bon réseau de conseillers chevronnés et de confiance dans ce domaine, afin d’être bien guidé dans ses achats. Il convient de s’assurer du sérieux d’un professionnel en n’hésitant pas à lui poser des questions du genre : « Garantissez-vous la datation que vous avancez ? Quel est l’état de la pièce ? Quelles restaurations a-t-elle subi ? » Parce que collectionner implique d’utiliser à la fois son cœur et sa tête.
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Questions à… David Roche
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°638 du 1 septembre 2011, avec le titre suivant : Questions à… David Roche