PARIS
Off. Si le salon n’exposait pas le nombre d’artistes prévu au départ par ses organisateurs, les seize solo shows ont offert un aperçu instructif des pratiques de l’image fixe ou animée au fil d’une scénographie et d’une ambiance plus muséale que commerciale.
Julien Frydman, directeur artistique, a su tirer parti des différents décors de l’hôtel Salomon de Rothschild. L’installation au sol des seize photographies de Suzanne Lafont (galerie Erna Hecey, Luxembourg) représentant chacune une plante cueillie dans les rues de Bordeaux, s’harmonisait avec les tapisseries d’un de ces salons et son jardin d’hiver attenant. Tout aussi percutant était le dialogue des tirages argentiques couleur solarisés de Daisuke Yokota (galerie JKG, Paris) avec les Polaroids géants d’Ellen Carey (galerie Miranda, Paris).
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Offscreen, une première édition singulière
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°598 du 4 novembre 2022, avec le titre suivant : Offscreen, une première édition singulière