Les musées s'efforcent de domestiquer le web, les réseaux sociaux, les applications pour smartphones ou tablettes.
24 ans après le premier serveur web et 8 ans après l’ouverture au public de Facebook, deux applications parmi les plus populaires, l’heure n’est plus à la découverte du numérique pour les musées, mais à sa domestication. Depuis notre précédent dossier sur le sujet en 2012, force est de constater que du côté des applications pour smartphones, ce n’est pas le raz-de-marée annoncé, encore moins pour les tablettes.
Plus récents, les réseaux sociaux séduisent les opérateurs culturels sans qu’ils sachent encore vraiment comment en tirer parti au mieux. Pendant ce temps, Google continue à étendre ses domaines d’intervention offrant aujourd’hui une base de plus de 57 000 œuvres en haute définition. Le Centre Pompidou, qui poursuit une stratégie web risquée, est l’un des rares grands musées français à ne pas avoir rejoint le géant américain. Les nouvelles technologies ne sont cependant pas forcément les meilleurs médiateurs, rappelle le neurologue Pierre Lemarquis.
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Le numérique défie les musées
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°406 du 31 janvier 2014, avec le titre suivant : Le numérique défie les musées