Pourquoi accueillir la collection à Caen ?
Ce sera la seule présentation en France de quelques œuvres de cette prestigieuse collection bergamasque actuellement fermée pour travaux. Nous avons souhaité ne pas seulement réunir des chefs-d’œuvre, mais construire un propos autour de thèmes précis, car notre musée est déjà riche en peintures italiennes
En quoi la présentation diffère-t-elle de celle de Lausanne en 2008, qui avait déjà accueilli quelques œuvres de cette collection ?
L’exposition de Lausanne était plus réduite du fait de la configuration des lieux. À Caen, nous disposons de grandes salles, donc de la possibilité de présenter de grands tableaux. Nous avons également souhaité construire un propos très didactique. Nous présentons de nombreuses œuvres très rares en France. Il y aura sûrement des révélations.
Avez-vous dû louer ces œuvres ?
L’échange a eu lieu de musée à musée, avec une contrepartie, mais sans frais de location des œuvres à proprement parler. Nous avons pu emprunter tous les tableaux voulus sauf ceux dont le constat d’état ne le permettait pas. Mais les chefs-d’œuvre n’ont pas constitué la priorité de nos choix.
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Questions à… Patrick Ramade
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°624 du 1 mai 2010, avec le titre suivant : Questions à… Patrick Ramade