Regarder à contre-jour, c’est prendre le risque de ne pas voir mais de mieux distinguer les contours.
C’est toute la réussite de la nouvelle exposition tourquennoise, qui présente le peintre qui a donné son nom au musée de la ville à côté de celles et ceux qu’il a côtoyés (ou croisés) dans le Nord dans les années 1960, artistes, collectionneurs ou conservateurs : Eugène Dodeigne, Jean Roulland, Marc Ronet, Jean Masurel, Jacques Bornibus… Si le parcours souffre de l’accrochage, les rapprochements restent éloquents et donnent la possibilité de retrouver des artistes rares, à l’instar de Roel D’Haese, de Pierre-Yves Bohm et de la géniale Germaine Richier. Cerise sur le gâteau, l’exposition, labellisée « d’intérêt national », se termine par la confrontation d’Eugène Leroy (1910-2000) avec des artistes vivants : Caroline Achaintre, Claire Chesnier, Sarkis…
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Eugène Leroy, à contre-jour
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Eugène Leroy, à contre-jour