Dossier
Avant même les musées ou les églises, les particuliers sont les premières victimes du vol des objets d’art en France, pays le plus pillé au monde après l’Italie. Afin de mieux lutter contre le trafic des objets d’art, la France s’est dotée en 1975 d’une police spécialisée qui, avec le soutien des associations de particuliers et des compagnies d’assurance, encourage les particuliers à ne pas se trouver pris au dépourvu en cas de vol. La mise en garde apparaît comme la solution la plus sûre.?Mais pour faire face à l’ingéniosité des cambrioleurs, il existe aussi de nombreux systèmes de protection, ainsi que quelques mesures de bons sens à prendre. Par ailleurs, l’inventaire du patrimoine, grâce à l’établissement de fiches descriptives, et le marquage des objets se révèlent très utiles. L’assurance permet bien sûr de se faire indemniser, mais beaucoup de particuliers hésitent à garantir leur patrimoine par peur de l’\"inquisition fiscale\".
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Par peur de \"l’inquisition fiscale\", beaucoup de Français hésitent à assurer leurs objets d’art.
Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts
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