Dossier
Des dimensions modestes mais des galeries scrupuleusement sélectionnées, un emplacement central et prestigieux – l’ancienne Bourse de Paris –, sont quelques-uns des ingrédients d’une recette qui comble chaque année l’appétit des collectionneurs de belles feuilles. Le Salon du dessin évolue très lentement. Pour cette édition, le curseur s’est déplacé un peu plus vers la fin du XXe siècle pour accueillir des œuvres plus récentes, même si la manifestation reste résolument classique. D’années en année, le Salon a aussi convaincu maisons de ventes aux enchères, marchands d’art et institutions à l’accompagner au travers
de ventes et d’expositions spécifiques. Durant cette quinzaine, les galeries du Quartier Drouot, l’École nationale supérieure des beaux-arts, le Musée Jacquemart-André et bien d’autres se consacrent pleinement au dessin. À chacun son dessein !
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