PARIS [30.10.13] - Fabienne Verdier investit les deux espaces de la galerie Jeanne Bucher et Jaeger Bucher.
Des arborescences, des lignes de paysages apparaissent sur ses grandes toiles abstraites exposées rue de Saintonge. On croirait entendre le bruissement des herbes folles, le chuchotement des insectes, la palpitation d’un monde vivant animé par son seul pinceau. Fabienne Verdier et ses « Energy Fields » investissent jusqu’au 2 novembre les deux espaces d’exposition de la galerie : Jaeger Bucher, rue de Saintonge, et Jeanne Bucher, rue de Seine.
On y découvre des toiles inédites réalisées dans le prolongement de ses expositions estivales à Bruges (au Musée Groeninge et au Musée Memling) et Bruxelles (à la Maison d’Erasme) revisitant des chefs-d’œuvre de maîtres flamands : des études (La pensée labyrinthique ou Méandres) inspirées de la coiffe de Margareta peinte par Van Eyck, et des œuvres de la série des walking-paintings, fruits de déambulations de l’artiste sur des feuilles de papier étalées au sol desquelles jaillissent des paysages imaginaires. « Plonge-toi au cœur des mutations. N’aie pas peur de faire face à l’inconnu », écrit-elle dans ses carnets récemment publiés chez Albin Michel.
Expositions « Fabienne Verdier : Energy fields » jusqu'au 2 novembre à la galerie Jaeger Bucher et à la galerie Jeanne Bucher
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Fabienne Verdier en quête de l’esprit vital
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Abonnez-vous dès 1 €Vue de l'exposition « Fabienne Verdier : Energy fields » à la galerie Jaeger Bucher © Galerie Jaeger Bucher