Après vingt-deux mois de fermeture pour travaux, le Musée Calouste-Gulbenkian, à Lisbonne, a rouvert ses portes. Outre la rénovation des équipements techniques, la muséographie a été entièrement repensée.
Commandé à l’architecte Paul Vanderbotermet, le projet a respecté l’articulation d’origine, mais a opté pour un dépouillement de l’accrochage afin de mieux présenter les pièces exposées. Certains espaces autrefois cloisonnés s’ouvrent maintenant en perspectives très amples et mettent en valeur l’architecture de l’édifice, en découvrant les murs de pierre et les grands plans vitrés dévoilant les jardins. Construit spécialement pour accueillir la Collection Calouste Gulbenkian, le musée est articulé en deux grandes sections : une partie dédiée à l’Antiquité et à l’Orient (Égypte, Grèce, Islam, Chine et Japon) et l’autre à l’art européen (Flandres, Hollande, Italie, France et Angleterre).
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Nouvelles perspectives
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°133 du 28 septembre 2001, avec le titre suivant : Nouvelles perspectives