La collection d’art populaire du Mexique, rassemblée et léguée à Marseille par le cinéaste François Reichenbach, est définitivement installée au Musée d’arts africains, océaniens, amérindiens (MAAOA) de la ville, dans une salle qui vient d’ouvrir au public.
Parmi les quelque 1 300 objets exposés – sur les 3 600 rassemblés par le réalisateur décédé en 1994 – figurent de nombreux masques, des céramiques révolutionnaires, des tableaux de laine élaborés par les indiens Huichol ou des monstres en papier mâché. Cette collection va « ouvrir une fenêtre sur une forme d’art longtemps tenue à l’écart, parfois méprisée des esthètes « officiels », qui ne voient pas dans cet ahurissant foisonnement de formes, d’idées plastiques, de couleurs, de matériaux, d’assemblage, une grande part de création », estime Alain Nicolas, directeur du musée.
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Marseille aux couleurs du Mexique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°137 du 23 novembre 2001, avec le titre suivant : Marseille aux couleurs du Mexique