AJACCIO - Dans le cadre de la construction d’un immeuble et de son parking, l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) vient de mettre au jour les vestiges du baptistère paléochrétien rattaché à la première cathédrale d’Ajaccio.
Le groupe cathédrale (dont la localisation précise est encore inconnue) était placé sous le vocable de saint Jean et de saint Eufrase, dont les reliques furent peut-être transportées en Corse au Ve siècle. En quatre ans, les fouilles préventives ont permis de mettre au jour d’autres basiliques paléochrétiennes, à Arles, Marseille, Rezé (Loire-Atlantique) et Roanne (Loire), enrichissant la connaissance cette période charnière entre l’Antiquité et le Moyen Âge.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les dessous d’Ajaccio
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°218 du 24 juin 2005, avec le titre suivant : Les dessous d’Ajaccio