Le CCF est situé au cœur de la troisième ville du pays avec près d’un million d’habitants, dont 70 000 étudiants. Armé de 12 postes d’accès gratuit à Internet, il proposera des formations à la bureautique et à la conception assistée par ordinateur. Il abrite une médiathèque, un centre pour les études en France et un centre de documentation pour les enseignants de français. Après celui d’Alger, deux autres CCF fermés pendant la décennie noire du terrorisme en Algérie ont été rouverts en 2002 à Oran et Annaba. Ceux de Tlemcen et Tizi-Ouzou sont prévus en 2006.
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La culture française revient en Algérie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°217 du 10 juin 2005, avec le titre suivant : La culture française revient en Algérie