PARIS
Paris. C’est une demi-surprise. L’ancien ministre de la Culture a été renouvelé à la tête de l’Institut du monde arabe (IMA).
Il avait été nommé pour la première fois en 2017 (*). Malgré son âge (80 ans) et l’enquête judiciaire concernant des costumes reçus en cadeau, l’Élysée a considéré qu’il n’y avait pas de meilleur candidat à sa succession. Il est vrai que Jack Lang a su donner un nouveau souffle à cette institution un peu endormie, handicapée par un financement et une gouvernance bancals. Aidé de son fidèle lieutenant Claude Mollard, il a joué la carte des expositions grand public et a réveillé une « cité » mi-centre culturel, mi-musée.
(*) Contrairement à ce que nous avons écrit dans le JdA n°541, Jack Lang a été nommé pour la première fois à la tête de l’Institut du monde arabe en 2013 et non en 2017. Il a été renouvelé à la présidence de l'IMA en 2017.
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Jack Lang rempile à l’IMA
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°541 du 13 mars 2020, avec le titre suivant : Jack Lang rempile À l’IMA