C’est un monument qu’Aymar du Chatenet élève à Nadia Léger. Une véritable somme de plus de six cents pages qui témoigne du méticuleux travail d’enquête abattu pour sortir de l’ombre cette artiste quasi inconnue, une peintre talentueuse totalement éclipsée par la gloire de son époux, le célèbre Fernand Léger.
Ce beau livre aux dimensions colossales est en effet la première étude consacrée à cette artiste ; une entreprise de réhabilitation pour laquelle l’auteur a cherché et exploité des mètres d’archives et traqué les œuvres de sa main dans les collections françaises et russes. Quatre cents œuvres sont d’ailleurs reproduites dans ce volume, de ses premières créations suprématistes influencées par son maître Malevitch à ses tableaux s’inscrivant dans la veine du réalisme socialiste. Un hommage vibrant et nécessaire qui lève le voile sur une carrière hors norme et une destinée romanesque.
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Nadia Léger, monographie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°729 du 1 décembre 2019, avec le titre suivant : Nadia Léger