Grand spécialiste de l’Asie, Philippe Pons s’intéresse dans ce livre à l’art du tatouage au Japon.
D’abord lié à l’art de l’estampe, au XVIIIe siècle, dont les tatoueurs reproduisaient sur la peau les compositions gravées, le tatouage devint peu à peu un héritage honteux qui fut finalement interdit, alors qu’il était admiré par les Occidentaux. En dépit de la levée d’interdiction en 1948, le tatouage continue d’être le sujet de préjugés tenaces qui le font prohiber, par exemple, dans certains bains publics japonais. Dans son texte, le journaliste du Monde livre une passionnante histoire artistique et sociologique d’une tradition jugée sur le déclin au Japon, mais que le monde entier continue toujours d’admirer.
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Le corps tatoué au Japon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°720 du 1 février 2019, avec le titre suivant : Le corps tatoué au Japon