MADRID - L’immense machine à piller créée par les nazis afin de s’approprier plus de « 300 000 œuvres d’art » en Europe occidentale avit été mise à nu dans un ouvrage paru en 1997, Musée disparu, dont le journaliste portoricain Hector Feliciano a présenté le 22 novembre à Madrid une version revue et augmentée. Au total, 203 collections particulières comme celle des Rothschild ou des banquiers David-Weil ont été victimes de la spoliation. Selon l’auteur, la France, où il a vécu, a été le pays le plus frappé, avec 100 000 œuvres volées.
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La suite du « Musée disparu »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°204 du 3 décembre 2004, avec le titre suivant : La suite du « Musée disparu »