PARIS - Suite au rapport Bethenod, le Syndicat national des maisons de ventes volontaires (Symev) et la Chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires (CNCPJ) se sont réunis le 12 juin pour élaborer des propositions communes de réforme du marché de l’art, qu’ils porteront d’une même voix devant les pouvoirs publics.
Les commissaires-priseurs souhaitent choisir la forme commerciale de leur SVV qui ne doit plus être obligatoirement à objet civil et diversifier leur activité en permettant les ventes de gré à gré, l’avance sur vente, les garanties de prix, la vente de biens neufs et en libéralisant l’after-sale. Mais ils s’opposent à la possibilité d’achat pour revendre sauf dans le cas d’opérations de garanties d’enchères. Concernant les ventes judiciaires, ils demandent que les huissiers de justice et autres officiers ministériels détiennent les diplômes attestant de compétences nécessaires à cette activité.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Vers une réforme du marché de l’art
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°284 du 20 juin 2008, avec le titre suivant : Vers une réforme du marché de l’art