La princesse Eugénie de Grèce et de Danemark a bénéficié d’une ascendance pour le moins prestigieuse. Ainsi compte-t-elle parmi ses ancêtres Lucien Bonaparte, le frère de Napoléon Ier, et la famille Blanc, célèbre pour avoir créé le casino de Monte-Carlo, sans oublier bien entendu la famille royale de Grèce. La plus grande part de la vente provient de l’héritage du couple Roland Bonaparte-Marie Blanc, les grands-parents maternels d’Eugénie de Grèce. On pourra y acquérir un diadème en diamants à décor de feuilles de laurier de la maison Cartier (estimé 600/800 000 F), un mobilier en acajou moucheté attribué à Jacob Desmalter, ou encore une remarquable paire de candélabres en bronze attribuée à Thomire (estimée 300 000 F).
GENÈVE, Hôtel des Bergues, le 20 juin.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Vente de Grèce
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°507 du 1 juin 1999, avec le titre suivant : Vente de Grèce