Paris. Depuis 2016, Armelle de Sainte Marie (née en 1968) mène de front deux séries, les « Odyssées », compositions colorées, et les « Vanités hybrides » : sur des fonds en aplat, des images d’objets naturels qu’elle interprète dans une recherche de télescopage sensoriel.
Les roches se font duveteuses, pelucheuses, et les créatures aquatiques, comme cette Gorgone (acrylique sur toile, 100 x 115 cm) flottant entre deux eaux, étrangement « plumeuse ». Cette première exposition personnelle à la galerie Jean Fournier offre d’apprécier une peinture suffisamment maîtrisée pour créer le trouble.
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Une « Gorgone » toute de plumes vêtue, par Armelle de Sainte Marie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°553 du 16 octobre 2020, avec le titre suivant : Une « Gorgone » toute de plumes vêtue, par armelle de Sainte Marie
