PARIS - Des silhouettes en habit et haut-de-forme sont éclairées par de curieux assemblages de lampes à huile formant des mots d’argot : « arsouille », « riolle » (débauche), « paf » (ivre) : la série de dessins « Le Salon » de Julien Tiberi, exécutée à la manière des illustrations de la fin du XIXe siècle, se situe à la croisée de l’étrange et du familier.
À la galerie Semiose, à Paris, l’artiste présente également, non loin de miroirs gravés, « El astro de la suela » (L’Astre de la semelle), une série de tableaux noir et blanc très graphiques – des plaques d’Isorel grattées – inspirés de vues de la frontière entre les États-Unis et le Mexique, à Tijuana.
« Julien Tiberi », galerie Semiose, 54, rue Chapon, 75003 Paris, tél. 09 79 26 16 38. Jusqu’au 11 février.
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Un art très graphique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°361 du 20 janvier 2012, avec le titre suivant : Un art très graphique