PARIS - Grosse déception pour la collection Berès d’estampes et de livres illustrés japonais, dispersée du 16 au 19 septembre à Drouot-Montaigne, à Paris, chez Pierre Bergé & associés.
Moins de 40 % des 1 850 lots ont trouvé preneurs pour 2,8 millions d’euros, contre une estimation de 5 millions d’euros. Les amateurs, pourtant très présents, n’ont pu absorber la masse d’œuvres offertes à des prix jugés soutenus. La meilleure enchère est revenue à une estampe de 1794 illustrant deux acteurs par Sharaku Toshusai, adjugée 86 800 euros. Les musées nationaux ont préempté quatre lots, dont un album de 40 dessins originaux de Hiroshige Ando pour 68 200 euros.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Trop d’estampes japonaises ?
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°332 du 8 octobre 2010, avec le titre suivant : Trop d’estampes japonaises ?