Pierre Bergé aurait demandé à Christie’s de lui verser sans tarder le montant de la vente de ses deux têtes chinoises réclamées par la Chine, adjugées 31,6 millions d’euros le 25 février au Grand Palais à un enchérisseur chinois qui refuse de les payer.
PARIS, PÉKIN - Ni l’homme d’affaires ni la maison de ventes n’ont souhaité commenter cette information. Parallèlement, et selon l’hebdomadaire Le Point daté du 26 mars, Jean-David Levitte, conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, cherche une issue heureuse à cette affaire qui pourrait compliquer les rapports de la France avec Pékin. Un consortium d’entreprises françaises implantées sur le marché chinois, emmené par le groupe Carrefour, pourrait se cotiser pour réunir les fonds nécessaires à l’achat des têtes en bronze. Et les offrir ensuite aux autorités chinoises en signe d’amitié. Ce qui reviendrait à annuler la vente aux enchères et à organiser une transaction privée, avec l’accord de Pierre Bergé.
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Têtes chinoises, suite
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°300 du 3 avril 2009, avec le titre suivant : Têtes chinoises, suite