St’Art a cinq ans et semble avoir trouvé sa vitesse de croisière. Quelque 25 000 visiteurs chaque année découvrent les œuvres présentées par une centaine de galeries. St’Art accueille principalement des visiteurs et des collectionneurs rhénans ou des pays frontaliers comme l’Allemagne, la Suisse et le Luxembourg. La foire s’inscrit dans une politique de découverte et de sensibilisation à l’art contemporain. Elle accueille de jeunes galeries, favorise la création et est l’occasion pour de nombreux amateurs d’effectuer leurs premiers achats. Ainsi, le chiffre d’affaires, qui atteint en moyenne 25 000 000 F par an, est majoritairement réalisé par des ventes entre 3 000 et 10 000 F même si les achats d’œuvres de plus de 250 000 F sont en progression. Cette année un comité consultatif a été instauré, garant de la qualité des œuvres et de la diversité des galeries. Toutes les formes d’art sont représentées, peinture, sculpture, photo, vidéo, nouvelles technologies et une place particulière est accordée au verre. La galerie Jean-Claude Chapelotte du Luxembourg, spécialisée dans le verre, expose par exemple Stanislas Libensky de l’Ecole de Prague. Un nouvel espace d’environ 6 000 m2 permet d’accueillir des sculptures monumentales ou des installations.
STRASBOURG, Parc des expositions, 2- 5 février.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Sous le signe du contemporain
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°523 du 1 février 2001, avec le titre suivant : Sous le signe du contemporain