Chez Jean-Pierre Schneider, un sujet en révèle toujours un autre. Dans sa dernière série, s’il peint des cargos, c’est surtout pour travailler la surface et les couleurs des proues qui, abordées de très près, se dressent comme un mur.
La matière, les rouges, les « ocres rouille » comme il le dit lui-même, sont le réel enjeu de cette figure devenue abstraite par sa frontalité. L’eau devient, elle, par ses reflets, une matière à réflexion. jusqu’au 10 novembre, 6, cité de l’Ameublement, 75011 Paris.
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Cet article a été publié dans Le Journal des Arts
n°510 du 2 novembre 2018, avec le titre suivant : Schneider à bon port