Le titre de l’exposition met d’emblée la poésie et le détournement au cœur de la démarche de Sara Favriau (née en 1983).
S’emparant du bois, qu’elle sculpte, évide ou assemble, elle sublime ce matériau tout en dénonçant subtilement l’empreinte humaine sur la nature dans un œuvre à la croisée de réflexions artistiques, scientifiques et poétiques. Compter 500 euros pour de très petits formats et jusqu’à 35 000 euros pour Miel (2019), ensemble de six œuvres.
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Sara Favriau - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°744 du 1 juin 2021, avec le titre suivant : Sara Favriau - En galerie