PARIS - Tout comme pour Sotheby’s le 17 mai, la vente d’art décoratif du XXe siècle de Tajan le 27 mai a été laborieuse, accusant un taux d’invendus de plus de 46 %.
Le bureau personnel de Paul Dupré-Lafon et le bureau en palissandre et fer battu de Pierre Chareau, pièces chèrement estimées, ont été ravalées. Le mobilier de salle à manger en merisier verni de Ruhlmann a en revanche grimpé de son estimation de 120 000 euros à une adjudication de 303 295 euros. Une figurine au collier a aussi bondi de son estimation basse de 30 000-35 000 euros jusqu’à 175 221 euros.
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Rude épreuve pour l’Art déco
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°195 du 11 juin 2004, avec le titre suivant : Rude épreuve pour l’Art déco