PARIS
Pour sa première présentation solo chez Maria Lund, la jeune plasticienne danoise Pernille Pontoppidan Pedersen, qui vit et travaille dans une ferme en pleine forêt près de Silkeborg, montre une vingtaine de céramiques récentes en combinaison, parfois, avec du bois.
« Je te donne… Je t’en mets de nouveau et je t’en rajoute encore », précise-t-elle amusée, créant ainsi, par un art consommé de l’accumulation, des pièces à l’équilibre instable qui, en incorporant des objets du quotidien (grille-pain, coussinet, câble métallique…), sont comme autant de traces de nos existences contemporaines. Prix oscillant entre 1 400 et 8 000 euros.
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Pernille Pontoppidan Pedersen - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°738 du 1 novembre 2020, avec le titre suivant : Pernille Pontoppidan Pedersen - En galerie