PARIS - Un paysage ? un arbre ? Longtemps, les œuvres de Cueco ont transmis l’impression d’une peinture contrôlée d’un bout à l’autre. Ici, les lignes (les branches ?) courent sur toute la surface avec une liberté totale, forment un tourbillon, un labyrinthe, suggèrent plus qu’elles ne montrent. Pourtant, miraculeusement, chaque trait, fin et élégant, semble être à sa place, comme si l’artiste était capable d’une virtuosité inconsciente.
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Pays sauvage
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Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°413 du 9 mai 2014, avec le titre suivant : Pays sauvage