Ses dessins débordent de jouissance, de partout ! De jouissance physique – il y est souvent question de sexe – comme de jouissance technique.
Cela se voit, cela se sent : Paul van der Eerden (né en 1954 à Rotterdam) prend son pied à dessiner aux crayons de couleur et à la mine de plomb des formes rondes ou anguleuses, molles ou rigides, sensuelles ou austères. À la Galerie Bernard Jordan, avec laquelle il collabore depuis vingt-cinq ans, l’artiste présente une sélection de ses derniers travaux proposés entre 1 000 et 1 800 euros pour des formats proches du A4. Jouissif.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Paul Van der Eerden - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°762 du 1 mars 2023, avec le titre suivant : Paul Van der Eerden - En galerie