Peintre de la nature, Olivier Masmonteil travaille à partir d’un protocole précis : « Je prépare des monochromes, je pars en voyage et je commence à peindre à partir de photos.
Ensuite, je laisse le tableau reposer un ou deux mois, et, lorsque le souvenir du voyage revient, je retourne la toile et la retravaille. » Résultat, un voyage onirique à Madagascar et en Nouvelle-Zélande, jouant sur l’effacement et le recouvrement.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°735 du 1 juillet 2020, avec le titre suivant : Olivier Masmonteil - En galerie