Artiste radical, dont l’action et le corps sont l’essence de son travail, Michel Journiac (1935-1995) est connu pour sa parodie d’une messe qu’il accompagna, en guise d’hostie, de boudin fait de son propre sang.
Mais son œuvre est plus large. Déployées dans les deux espaces de la Galerie Christophe Gaillard et à la Galerie Loevenbruck, ce sont une cinquantaine d’œuvres emblématiques qui sont présentées par thème (la religion, la famille, la mort), accompagnée d’une réédition des tirages de 24 heures dans la vie d’une femme ordinaire, où, travesti, Journiac joue des clichés de la presse féminine, et d’une monographie publiée pour l’occasion. Les prix vont de 4 000 à 200 000 euros.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Michel Journiac - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°717 du 1 novembre 2018, avec le titre suivant : Michel Journiac - En galerie