MARSEILLE
Ce sont une douzaine de bas-reliefs (de 2 000 à 5 000 euros) qui narrent l’histoire d’un monde violent : celui de la sphère artistique.
Pour sa première exposition dans une galerie française, Mathis Collins joue avec les codes des beaux-arts, et l’idée d’auto-identification à un médium lors de l’adhésion à « La Maison des artistes », titre de son exposition.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Mathis Collins - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°721 du 1 mars 2019, avec le titre suivant : Mathis Collins - En galerie