Trop peu exposé en Europe, le travail de Masaki Nakayama, dont les œuvres des années 1970 à 2017 sont montrées à la Galerie Christophe Gaillard, est pourtant le témoin d’un changement des pratiques artistiques nippones.
Rompant avec la tradition, entre objet, photographie et performance, en noir et blanc ou en couleur, l’artiste utilise son corps comme partie intégrante de l’œuvre, l’ensemble dans une veine conceptuelle (de 3 000 à 45 000 euros).
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Masaki Nakayama - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°731 du 1 février 2020, avec le titre suivant : Masaki Nakayama - En galerie