PARIS - De Tony Oursler, on connaît ses Talking Heads, visages difformes dévidant un monologue aux accents agressifs, ou ses yeux monstrueux observant le spectateur avec la hargne du cyclope.
Mais l’exposition organisée par la galerie JGM, à Paris, a le mérite de présenter d’autres facettes moins rebattues, notamment son rapport au théâtre, mais aussi sa série récente Peak traitant des relations malsaines entre l’homme et l’image virtuelle. Les installations d’Oursler créent d’ailleurs un malaise esthétique proche des films de David Lynch.
79, rue du Temple, 75003 Paris, tél. 01 43 26 12 05, www.jgmgalerie.com. Jusqu’au 5 mars
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Magnifique Tony Oursler
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°341 du 18 février 2011, avec le titre suivant : Magnifique Tony Oursler