Depuis sa grande exposition consacrée à Louis Soutter (1871-1942) à Cologne en 1998, la galerie Karsten Greve n’a de cesse de soutenir l’artiste suisse.
Pour cette cinquième rétrospective – la deuxième à Paris – elle se concentre cette fois sur ses peintures et dessins au doigt. Il débute ce cycle en 1936, près de treize ans après son placement dans un hospice pour vieillards et nécessiteux à Ballaigues dans le Jura vaudois. Il est alors presque aveugle et atteint d’arthrose articulaire. Cette technique va lui permettre d’interagir directement avec le support et d’exprimer ainsi ses émotions de manière plus immédiate et intense. L’exposition, qui regroupe 14 œuvres et 5 photographies (portraits de Louis Soutter par Theo Frey) – prix entre 380 000 et 750 000 euros – est accompagnée d’un catalogue.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Louis Soutter - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°774 du 1 avril 2024, avec le titre suivant : Louis Soutter - En galerie