Pour sa quatrième exposition à Paris, le photographe californien revient chez Polaris avec une très belle série où l’intime distille le visage d’un proche, l’ombre d’une fleur, la présence d’un corbeau ou la lumière dans une grange.
Louis Heilbronn dessine aussi, des dessins qu’il préfère photographier, rajoutant au trouble, l’alchimie des matières et l’épaisseur du temps.
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Louis Heilbronn - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°749 du 1 décembre 2021, avec le titre suivant : Louis Heilbronn - En galerie