Lucien Arcache proposait aux enchères, le 3 avril, un ensemble de tableaux, dessins et aquarelles orientalistes sur lesquels ont été portées de fortes enchères : ainsi, une huile de Frederick Arthur Bridgman, Beauté à l’éventail, a quintuplé son estimation haute pour s’envoler à 310 000 francs, une Bédouine à la ceinture rouge de Mario Ridola s’est vendue 270 000 francs, tandis qu’une huile de Herman David Salomon Corrodi était adjugée 230 000 francs.
Un tableau d’Émile Deckers exécuté à Alger en 1942, représentant quatre jeunes femmes des Aurès, est parti à 195 000 francs alors qu’une grande huile (81 x 101 cm) d’une école belge, Les danseuses de Jules van Biesbroeck a été emportée à 180 000 francs. L’Odalisque au tambourin d’Antonio Torres Fuster, représentant une jeune femme au sourire béat, alanguie sur un lit recouvert d’une peau de tigre, a doublé son estimation à 135 000 francs. Beau résultat également pour Les cavaliers suivant l’Oued de Georges Washington de Georges Washington, montrant un groupe d’hommes chevauchant dans des marécages, qui s’est envolé à 145 000 francs.
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Les tableaux orientalistes ont la cote
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°103 du 14 avril 2000, avec le titre suivant : Les tableaux orientalistes ont la cote