Polémique aussi autour de deux chaises de la chambre du Comte d’Artois à Bagatelle vendues à Dijon le 14 mai chez Mes Vrégille-Bizoüard. Les voilà parties à 460 000 F, un prix modeste au regard du million espéré. Du coup le doute s’installe et la rumeur court. Sont-elles vraiment de Bagatelle ? Le résultat ne se fait pas attendre. L’acquéreur qui était au téléphone déclare n’avoir pas porté d’enchères et refuse de payer. Les commissaires-priseurs prennent la chose avec courtoisie et humour. « On n’a pas dû se comprendre, disent-ils, mais qu’importe, puisque la vente n’a pas eu lieu, on reprend la marchandise. » Ces chaises, dont l’historique est difficilement réfutable, vont donc être remises en vente dans les jours prochains lors d’une vente tout ce qu’il y a de plus « ordinaire ». Selon un bon observateur du marché, il pourrait y avoir une grosse surprise.
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Les chaises du Comte d’Artois
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°518 du 1 juillet 2000, avec le titre suivant : Les chaises du Comte d’Artois