Une étude sur papier marouflé de Jean-Baptiste Corot, Rome, vue prise de la fenêtre de Corot (1825) – premier témoignage de l’arrivée de l’artiste dans la ville – mise en vente par l’étude PIASA le 21 juin, à Drouot-Richelieu, a décuplé son estimation pour atteindre 4,6 millions de francs.
Lors de la même vacation, le Paysage d’hiver, aussi nommé La Gorge aux loups, forêt de Fontainebleau (1872), peinture sur toile signée Gustave Courbet, était adjugée 1,5 million de francs. La veille, Me Pierre Cornette de Saint Cyr dispersait à Drouot des œuvres modernes et contemporaines, notamment une acrylique sur toile de Robert Indiana, One Indiana Square (1970), qui a réalisé la plus haute enchère : 952 000 francs.
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Les bons scores de Corot
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°130 du 29 juin 2001, avec le titre suivant : Les bons scores de Corot