PARIS
La façon de « peindre » est toujours la même : des couches et des couches de hanji, ce papier traditionnel coréen apprécié pour sa finesse, recouvertes de charbon de bois, parfois aussi de pigment bleu, que l’artiste gratte inlassablement à la brosse pour obtenir de profonds paysages abstraits… Les œuvres que Lee Jin Woo présente aujourd’hui à la Galerie Maria Lund, à Paris, sont le résultat d’une quête : celle d’un peintre né en 1959 à Séoul qui, installé en France depuis de longues années, fouille œuvre après œuvre ses racines coréennes.
Il en résulte des tableaux puissants autant chargés de la pensée coréenne que du romantisme de Friedrich. De 4 000 à 35 000 euros selon le format.
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Lee Jin Woo - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°723 du 1 mai 2019, avec le titre suivant : Lee Jin Woo - En galerie